NOM : Wickware. PRÉNOM(S) : Wordy Buckley. DATE DE NAISSANCE & AGE : Il est né le deux février, il y a de cela trente-trois ans. LIEU DE RÉSIDENCE : Wordy a quitté la maison familiale se trouvant dans la banlieue nord de Los Angeles pour venir se cacher dans les tréfonds de Chinatown. Et même si le confort n'est pas au rendez-vous, il préfère se faire nomade.
Détails
SOULWAKER OU NORMAL ? Wordy est un soulwalker. Si SOULWALKER : - don ? Il possède l'incroyable pouvoir de contrôler les pensées des autres. - camp ? Considérant que cette guerre n'est pas la sienne, il reste neutre. - stimulant : La cigarette. - inhibiteur : Le bruit intense. Un son strident ou un bruit trop conséquent peut l'empêcher de contrôler les pensées d'autrui. Cela l'amène souvent à le faire saigner du nez et des oreilles.
Descriptions
CARACTERE : Wordy est un homme qui possède plusieurs facettes et cela, depuis qu'il est petit. Tout le monde l'a toujours connu différent et toujours selon les endroits ou il se trouvait. Si l'on avait ajouté la folie à ses états d'âmes, il aurait très vite viré schizophrène à un haut niveau mais il n'en est rien. Wordy est surtout connu pour son côté dynamique, attachant et protecteur. Il possède toujours le mot pour rire et sait détendre l'atmosphère même la plus ridée. Très libertin dans sa vie, il ne refuse quasiment jamais rien. Pour lui, la vie est courte et il faut apprendre à en profiter à fond quelque soit le moment. Assez enfantin dans sa tête, il était connu comme élément perturbateur étant plus jeune. C'est surtout que les médecins lui avaient diagnostiqués une hyperactivité. C'est d'ailleurs en pratiquant bon nombre de sport tels que le football ou le rugby, qu'il a su se calmer de ce côté-ci. Autrement, Wordy était un peu comme l'enfant que chaque mère rêverait d'avoir. Aimant, aimé, charmant, aimant aider en toutes circonstances, généreux bref, le parfait profil. Et puis il y a eu l'épisode Lou qui l'a totalement transformé. il avait rangé au placard cette façade de jeune homme heureux de vivre. Il s'est lentement laissé choir dans une dépression sans fin ou il a radicalement changé. C'est en entrant dans l'armée qu'il a peu à peu ressortir son costume des bons jours. Joueur et drôle, il passait un peu pour la mascotte de son régiment tout en étant sérieux et fonceur. Après plusieurs années dans l'armée, Wordy garde toujours ses multiples facettes bien que sa nature reste toujours la première que l'on voit.
PHYSIQUE : Gueule d'ange était un pseudonyme qui lui fut attribué très tôt dans sa jeunesse et sa mère fut même la première à l'interpeller ainsi. On ne peut pas vraiment dire que Wordy possède un physique effrayant à en dissuader plus d'une de s'en approcher. Il fut d'ailleurs plus que gâté par la nature de ce côté là. Un peu plus haut qu'un mère quatre-vingt trois, il a toujours adoré passer son temps à faire du sport. Aujourd'hui, cela à plus que porté ses fruits. Musclé, endurant et peu essoufflé lors d'un effort intense, il est connu pour son incroyable agilité et force. Mis a part son corps qui n'a rien à envier, Wordy possédait une chevelure indomptable. Il était l'heureux propriétaire d'une tignasse incroyable digne de celle d'un fauve. A en entrant dans l'armée qu'il avait adopté le look cheveux rasé. A dire vrai, il n'avait pas vraiment le choix. Le plus drôle c'est que ses cheveux prennent une teinte légèrement rousse quand il est exposé au soleil alors que ses cheveux sont d'un naturel brun foncé. C'est d'ailleurs deux grands yeux marrons qui lui donne ce charme tant connu et admiré par les amies de sa mère qui ne cessait de lui tirer les cheveux et les joues lorsqu'il était petit. Wordy possède également quelque chose qui lui est propre : un tatouage sur le bras droit. Plus précisément un tatouage tribal et il en est plutôt fière de celui-ci. Quant au contenu de sa garde robe, vous ne trouverez rien d'autres qu'un simple look jean, tee-shirt et le tout complété par une paire de baskets. Par contre, son petit vice réside de porter des bracelets de cuir autour de ses poignets dont un que lui avait offert Lou qu'il n'a jamais quitté depuis.
AUTRES : Wordy est un accroc à la nicotine. Étant son propre stimulant au niveau de son don, il est devenu un fumeur constant, enchaînant parfois un paquet dans la journée. Bien qu'il sait que cela nuira à sa santé un jour ou l'autre, il préfère utiliser un maximum son don pour sauver sa peau, du moins pour le moment. Wordy à quitté le cocon familial très jeune et bien avant d'entrer dans l'armée. Préférant ne pas être aidé financièrement par ses parents, il est devenu mécano dans un petit garage dans la banlieue nord de Los Angeles. Quant à son logement, il dort dans un petit appartement dans Chinatown, juste au dessus d'un restaurant de sushi. Les odeurs sont d'ailleurs très fortes. Il retourne régulièrement chez ses parents, pour y dormir une ou deux nuits. Cette visite lui donne plutôt l'occasion de remettre un pied dans son quartier et d'y revoir son cercle sociale avec qui il entretient toujours une bonne entente. Certains de ses amis sont d'ailleurs des soulwalkers également.
Depuis toujours, il a une aversion profonde de la cannelle, dont le goût lui est insupportable. Quand il déprime, il a un peu tendance à se reposer sur une bouteille de Vodka et des cigarettes. Il adore conduire et insistera toujours pour vous emmener plutôt que de se faire emmener. Il possède d'ailleurs un vieux pick-up dont la peinture s'écaille chaque jour de plus en plus. Wordy se nourrit beaucoup de fast-food ou de plats à emporter. Il manque de temps pour faire la cuisine. Il adore les bains de minuit et va régulièrement se baigner en pleine nuit sur les plages de Santa Monica. Il critique constamment les films d'horreur mais va toujours les voir au cinéma même en sachant qu'il aimera pas. Il se débrouille plutôt pas mal en informatique et correspond même avec des gens par mailing. Il possède un téléphone portable comme tout le monde mais lui, il ne s'en sert quasiment jamais. Il aimerait bien retourner dans l'armée mais sa mère serait capable de le tuer avant qu'il n'atteigne la base. Il a toujours voulu avoir un chien mais son train de vie le fait hésiter sur le fait d'avoir une bête à poils à charge. Wordy est un grand fan de vieux rock et possède toute une collection de cd et de vinyles. C'est aussi un fan inconditionnel des vieux films de Tarantino et des films en noir et blanc.
Hors-Jeu
AVATAR : Sam Worthington. CODE DU RÈGLEMENT : OK vérifié par Dodo (a) CRÉDITS : Les icones proviennent des livejournals de Mattchbox & Whysosensitive. AUTRES ? J'adore le concept du forum. Celui-ci m'a tellement tapé dans l'œil que je n'ai pas pu résister de m'inscrire. Tout est tellement bien travaillé que j'ai l'impression de me trouver au cœur d'un bon bouquin et que j'ai envie de connaître la suite. En tout cas bravo, c'est splendide et j'espère que ce forum va faire sensation
Accoudé au bar, Wordy faisait tournoyait son verre entre ses doigts tremblants. Il en était à son troisième verre de whisky et rien ne lui disait d'arrêter. Cela faisait plus de trois semaines qu'elle avait disparu et il n'y avait toujours rien. Pas une seule piste, un indice ou même un infime fragment de quelque chose qui aurait permit de la retrouver elle, ou son corps sans vie. Tous les scénarios étaient envisageables : enlèvement, meurtre, suicide ou même fugue. Wordy ne croyait pas aux dernières solutions. Il connaissait Lou comme personne et si quelque chose clochait, elle lui aurait dit. Il en était sûr. Faisant un signe de la main droite au barman, celui-ci vint lui servir un quatrième verre. « C'est triste de mourir à cet âge là. » Le barman fit couler le liquide ambré dans le verre et remis la bouteille sur l'étagère derrière lui. « Elle est pas morte. » « Je serai toi, j'en serai pas aussi sûr. Trois semaines qu'elle a disparu, elle est pas plus vivante que ma femme tiens ! » « Ta gueule, elle est pas morte bordel. » « Fixe toi de faux espoirs s'tu veux, je voulais juste t'aider mon gars. » « J'en ai rien à foutre de ton aide, pauvre con. » Wordy jeta un billet de cinquante dollars sur le comptoir et sortit du petit bar désert. Il venait régulièrement jouer au billard avec Lou et rien que le fait d'entendre les boules s'entrechoquaient, se cœur avait un dératé. La pluie n'avait cessé de tomber depuis quelques jours déjà. Un épais manteau de nuages gris avait recouvert le ciel, si bien que les rues étaient sombres et désertes. La police avait arrêté ses recherches la semaine dernière et le dossier était clos. Pour seul conseil, ils avaient demandé à la famille et aux proches de faire leur deuil ou d'espérer. Comment peut-on annoncer à deux parents orphelins de la fille de la considérer comme morte ou d'espérer une chose qui n'arrivera peut-être jamais ? Comment peut-on clore un dossier seulement trois semaines après et ainsi fermer l'espoir d'une communauté désirant la retrouver ? Wordy n'était pas de ceux qui pouvaient comprendre. Lou était la partie la plus importante de toute sa vie. Elle était son pilier, ses fondations, le ciment qui le reliait à la vie. Il avait grandit avec elle, avait fréquenté les même écoles, les même aléas et problèmes. Il était présent pour elle comme elle l'étaient pour lui. Sans sa présence à ses côtés, c'était tout un côté de son existence qui s'effondrait. Comme si leur relation n'était qu'un échafaudage et qu'il n'avait fallu qu'une brise de vent pour tout faire tomber. Il traversa la rue et entra dans le petit square du quartier, tout aussi désert. la pluie l'avait quasiment trempé de la tête au pied mais il était loin de s'en préoccupé. Se dirigeant vers le portique, il prit place sur une des balancelles. Les deux coudes sur ses genoux, la tête dans ses mains, il essayait en vain de ne penser qu'à elle, qu'aux bons souvenirs qu'il gardait d'eux.
Citation :
« Tu sais, je suis calmée maintenant. » « Je préfère encore attendre un peu, par précaution. » « C'est une excuse pour me garder dans tes bras, c'est ça ? » « Tu m'as démasqué, je m'avoue vaincu. » Lou était schizophrène depuis l'adolescence. Sa maladie se traduisait par des crises peu régulières mais présentes. A l'heure d'aujourd'hui, seul Wordy était capable de la calmer et surtout la seule personne qu'elle acceptait quand elle n'était plus tout à fait elle. Calmer une personne atteinte de schizophrénie n'est pas chose aisée, mais au fil des crises, Wordy savait exactement comment procédé. Il devait à tout prix éviter de l'effrayer, de la froisser ou de l'énerver encore plus. Alors petit à petit, il essayait de crever sa boule, d'entrer dans son monde. Il lui suffisait alors de s'agenouiller à côté d'elle et de lui parlait constamment. Lui dire ce qu'elle était, ce qu'elle faisait mais également lui parler des gens qu'elle côtoyait, des petites anecdotes habituelles de sa vie des plus au moins drôles. Il lui arrivait également de parler de lui, de eux et fréquemment, il réussissait toujours à la prendre dans ses bras et à la bercer, comme une mère aurait fait pour son enfant. Celui prenait du temps et ce à chaque crise mais personne ne pouvait la calmer aussi bien que Wordy le faisait. Et d'un certain sens, il était sûr que cela la réconforter, de le savoir près d'elle. Déposant un baiser au sommet de son crâne, il se mit à jouer avec une de ses mèche brune tendit qu'il continuait à la bercer.
« Si tu continues, je vais m'endormir. » « Je serai pas contre une petite sieste. » Pour seule réponse, la jeune femme leva la tête et croisa son regard. Wordy déplaça quelques mèches qui lui cachaient le visage et caressa tout bout des doigts sa peau douce et bronzée au naturelle. Il fit glisser ses doigts le long de son front, contourna ses yeux, descendit l'arrête de son nez, glissa sur ses pommettes et vint s'échouer sur ses lèvres fines. Il se pencha vers elle pour y déposer un doux baiser avant de relâcher son étreinte. « Je crois que tu es guérie maintenant. » « Hum, je l'étais avant aussi tu sais. »
La seule chose qui lui paraissait bien dans le fait qu'il pleuve, c'est qu'il pouvait pleurer sans que cela ne se voit. Ses larmes se mêlant aux gouttes de pluie qui lui lacéraient le visage. Son quotidien avait littéralement changé depuis qu'elle était partie et un immense gouffre s'était dressé entre lui et ce qu'il vivait chaque jour. D'un certain sens, il était lui même enfermé dans une bulle qui ne désirait rompre pour rien au monde. Même si son absence se faisait plus lourde au fil des jours, il ne désirait pas reprendre sa vie d'avant et faire comme si elle n'avait jamais existé. Réinventé son quotidien sans elle ne serait pas chose facile et il le savait. Passant une main sur sa nuque, il se releva et abandonna le petit parc. Sa présence résonnait à chaque pas qu'il faisait dans le terrain détrempé et il n'avait qu'une seule envie : rentrer. L'alcool agissait déjà et une brume s'installait peu à peu dans son esprit. Il n'y avait qu'une façon pour s'approchait d'elle et de leurs souvenirs : dormir. Et c'est justement ce qu'il faisait depuis trois semaines.
« Wordy bouge ton cul, ils sont là. » fit une voix féminine qui le tira de son sommeil réparateur. Il osa ouvrir un oeil, sa tête et son corps encore endormis et endoloris par une courte nuit. Kate se chargeait déjà de lui envoyait à la figure ses fringues qui gisaient sur le sol. D'une rapidité folle, elle lui jeta également ses chaussures qui finirent de le réveiller. Elle disparut aussi vite, qu'elle était entré, dans la pièce à côté. Wordy gratta furtivement sa barbe naissante et négligée avant de se lever. Habillé d'un simple caleçon et d'un tee-shirt, il s'aventura vers la fenêtre dont il bougea légèrement le rideau miteux. Kate n'avait pas tord. Une voiture noire était garée en bas de son immeuble et cela ne lui disait rien de bon. Il était préparé à toutes sortes de scénarios et le fait de savoir ce qui pourrait lui arriver s'ils mettaient la main sur lui, ne lui laisser rien présager de bon. « Je ne sais pas depuis combien de temps ils sont là mais j'ai vérifié, toutes les sorties sont bloqués. » fit-elle en entrant dans la chambre, un petit sac en papier kraft à la main. « Tu devrais te dépêcher, je sens qu'ils vont pas tarder. » Sur ces mots, Wordy enfila ses habits et coinça le petit sac au niveau de sa ceinture, pour être sûr qu'il ne le perde pas en route. Il attrapa sa veste, remonta la fermeture et dissimula son visage sous la capuche. « Et toi ? »
« T'en fais pas pour si peu. » Il s'approcha d'elle, enfermant son visage de ses mains. Il replaça une mèche brune rebelle derrière l'oreille de la femme et l'embrassa délicatement. Ils se connaissaient depuis presque cinq ans. Kate avait toujours su mettre en suspens son côté morose et déprimé dû à la perte de quelqu'un de cher. Elle avait su s'immiscer là où il lui manquait quelqu'un. Leur relation n'avait rien d'exceptionnel et ils ne s'étaient jamais promis la lune. La jeune femme ne faisait que l'accueillir dans ses draps quand la solitude se faisait omniprésente et même s'ils faisaient à l'un comme à l'autre, les sentiments qu'ils ressentaient n'avaient rien d'amoureux. « Passe par les toits, tu as une petite chance si tu te dépêches. » Wordy l'embrassa une dernière fois avant de disparaître dans le couloir. La jeune femme vivait dans un petit appartement miteux au cinquième étage d'un vieil immeuble qui en contenait une bonne dizaine. Les seules issus qui s'offraient à lui étaient le toit, la loge du gardien ou la porte d'entrée. Et même si Kate lui avait indiqué la première solution, une voix intérieure l'interdisait de s'y aventurer. Il se dirigea vers l'escalier de secours et des pas gravissant les marches ne lui indiquaient rien de bon non plus. Il monta à l'étage suivant et se souvint que des petites trappes menaient au local à poubelle, et ce à chaque étage. Il emprunta le couloir qu'il longea jusqu'à atteindre ce qu'il cherchait. « Il est là ! » Wordy ouvrit la trappe et se glissa à l'intérieur. « Le local à poubelles vite ! » La descente fut limite infernale. Le conduit était petit et la présence d'air était minime. Au final, il se vit tombé dans un grand contenair à détritus. L'odeur était peu ragoutante mais il en avait vu d'autre. Il essaya tant bien que mal de se hisser sur le rebord pour rejoindre la terre ferme.
Il avait exactement à peine deux minutes avant que la cavalerie débarque. Le parking était désert, il n'aurait donc pas la possibilité de voler une voiture. Son seul espoir résidait dans le fait de courir vite et de rejoindre le centre-ville. Il emprunta le passage pour piétons qui menait sur la rue. Le jour était loin de se lever et l'obscurité restait un atout majeur pour lui. Un moyen de pouvoir se dissimuler et de leur échapper. Il possédait quelques contacts dans le downtown. Dans le dédale des rues, il rejoignit enfin le centre ville. Au bout d'une ruelle, il bifurqua à droite et emprunta une petite rue sans issue. Il toqua trois fois à la porte, donna un coup de pied et retapa une fois. Un vieux dégarni aux bras remplis de tatouages le laissa passé. Si cette fois-ci ils l'avaient raté, il ne faudrait pas longtemps pour qu'il se fasse traquer encore et encore.
Dernière édition par Wordy Wickware le Jeu 18 Fév - 18:57, édité 5 fois
Dorothy Blixen Ligue 19
─ Messages : 143 ─ Date d'inscription : 17/01/2010─ Pseudo : MELODY ─ Age : 32 ─ Humeur : PUNCHYY ─ Jukebox : THE DAVEY BROTHERS - HEART GO FASTER ♥
Sujet: Re: WORDY WICKWARE ♦ I don't give a damn 'bout my bad reputation. Mer 17 Fév - 16:29
Bienvenuuue
Bon courage pour ta fiche : ) (excellent choix d'avatar soit dit en passant : D)
Pandore Worthington OCPS
─ Messages : 66 ─ Date d'inscription : 20/01/2010─ Age : 34 ─ Humeur : Jubile :3 ─ Jukebox : Fool - Cat Power
Sujet: Re: WORDY WICKWARE ♦ I don't give a damn 'bout my bad reputation. Mer 17 Fév - 16:57
Je commence mon tour de faux Bienvenue, et tu es le premier! Wow (hystérie collective)
Bon je ne vais pas m'étendre... Mais ça m'a fait bien plaisir quand j'ai lu ta petite rubrique "Autre". J'espère en tous cas que ton séjour sur Soulwalker sera palpitant et durable.
Bien sûr les vrais Bienvenues seront pour quand je pourrais croquer des yeux vos écrits, mais vu le nombres titanesque de membre, je vais prendre soin de vous mes biquets.
Wordy Wickware
─ Messages : 25 ─ Date d'inscription : 17/02/2010─ Pseudo : BRAIN-LEECH. ─ Age : 34 ─ Humeur : GRUMPY. ─ Jukebox : RAIN BY JON HEINTZ.
Sujet: Re: WORDY WICKWARE ♦ I don't give a damn 'bout my bad reputation. Mer 17 Fév - 17:12
J'ai toujours désiré jouer Sam mais je n'avais pas vraiment trouvé de forum adéquate, mais maintenant c'est chose faite Merci beaucoup à vous Pandore, si tu désires un peu plus de monde il y a toujours la case bazzart
Wordy Wickware
─ Messages : 25 ─ Date d'inscription : 17/02/2010─ Pseudo : BRAIN-LEECH. ─ Age : 34 ─ Humeur : GRUMPY. ─ Jukebox : RAIN BY JON HEINTZ.
Sujet: Re: WORDY WICKWARE ♦ I don't give a damn 'bout my bad reputation. Jeu 18 Fév - 18:59
Double poste mais il me semble avoir fini La seconde anecdote n'est pas terrible, mais je pense m'être rattrapée avec la première.
The Soulwalker Hacker Paranormal
─ Messages : 47 ─ Date d'inscription : 21/01/2010
Sujet: Re: WORDY WICKWARE ♦ I don't give a damn 'bout my bad reputation. Jeu 18 Fév - 19:28
Tout est en règle, je valide !
Bienvenue parmi nous...
Cependant veuillez s'il vous plaît corriger quelques fautes de syntaxe et d'orthographe, disséminées dans votre biographie. Merci
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Sujet: Re: WORDY WICKWARE ♦ I don't give a damn 'bout my bad reputation.
WORDY WICKWARE ♦ I don't give a damn 'bout my bad reputation.
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